dimanche 12 février

Quiz du 6e dimanche ordinaire, année B


Sixième dimanche ordinaire, année B
 
Trois parties : les questions du quiz, les textes du dimanche, les réponses du quiz.
 
Questions du quiz.
 
Pourquoi dis-tu cela, Jésus ?
 
Tu dis au lépreux « Je le veux, sois purifié ». Mais pourquoi laisses-tu la lèpre frapper des innocents ? Est-ce que tu ne veux pas les « purifier » ?
 
N’est-ce pas contradictoire de dire « ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre » ?
 
Et pourquoi ne rien dire de ce qui fait tant de bien ?
 
Jésus n’est-il pas habitué aux foules ? Pourquoi les fuit-il ?
 
Vais-je bien lire ?
 
Que fait-on d’un lépreux, du temps de Moïse ?
 
Que fait le Seigneur à l’égard de celui que souffre et crie vers lui ?
 
Que devons-nous faire, à la demande de l’apôtre Paul ?
 
Quel geste fait Jésus pour répondre à la demande du lépreux ?
 
Quel témoignage Jésus demande-t-il au lépreux ?
 
Lectures
 
Lecture du livre des Lévites (13, 1-2. 45-46)
 
Le Seigneur dit à Moïse et à son frère Aaron : " Quand un homme aura sur la peau une tumeur une inflammation ou une tache, qui soit une marque de lèpre, on l’amènera au prêtre Aaron ou à l’un des prêtres ses fils. Le lépreux atteint de cette plaie portera des vêtements déchirés et les cheveux en désordre, il se couvrira le haut du visage jusqu’aux lèvres, et il criera : ’Impur ! Impur !’ Tant qu’il gardera cette plaie, il sera impur. C’est pourquoi il habitera à 1’écart, sa demeure sera hors du camp. "
 
Psaume 101 [102]
 
R/N’oublie pas, Seigneur, le cri des malheureux.
 
Seigneur, entends ma prière :
que mon cri parvienne jusqu’à toi !
Ne me cache pas ton visage
le jour où je suis en détresse !
 
Mes jours s’en vont en fumée,
mes os comme un brasier sont en feu ;
mon cœur se dessèche comme l’herbe fauchée,
j’oublie de manger mon pain.
 
À force de crier ma plainte,
ma peau colle à mes os.
Mais toi, Seigneur, tu es là pour toujours ;
d’âge en âge on fera mémoire de toi.
 
Des hauteurs, son sanctuaire, le Seigneur s’est penché ;
du ciel, il regarde la terre
pour entendre la plainte des captifs
et libérer ceux qui devaient mourir.
 
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (10, 31-11, 1)
 
Frères, tout ce que vous faites : manger, boire, ou n’importe quoi d’autre, faites-le pour la gloire de Dieu. Ne soyez un obstacle pour personne, ni pour les Juifs, ni pour les païens, ni pour l’Église de Dieu. Faites comme moi : en toutes circonstances, je tâche de m’adapter à tout le monde ; je ne cherche pas mon intérêt personnel, mais celui de la multitude des hommes, pour qu’ils soient sauvés. Prenez-moi pour modèle ; mon modèle à moi, c’est le Christ.
 
Alléluia. Alléluia. Un grand prophète s’est levé parmi nous : Dieu a visité son peuple. Alléluia.
 
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 40-45)
 
Un lépreux vient trouver Jésus ; il tombe à ses genoux et le supplie : " Si tu le veux, tu peux me purifier. " Pris de pitié devant cet homme, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : " Je le veux, sois purifié. " À l’instant même, sa lèpre le quitta et il fut purifié. Aussitôt Jésus le renvoya avec cet avertissement sévère : " Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre. Et donne pour ta purification ce que Moïse prescrit dans la Loi : ta guérison sera pour les gens un témoignage. " Une fois parti, cet homme se mit à proclamer et répandre la nouvelle, de sorte qu’il n’était plus possible à Jésus d’entrer ouvertement dans une ville. Il était obligé d’éviter les lieux habités, mais de partout on venait à lui.
 
Réponses proposées
 
Pourquoi dis-tu cela, Jésus ?
 
Tu dis au lépreux « Je le veux, sois purifié ». Mais pourquoi laisses-tu la lèpre frapper des innocents ? Est-ce que tu ne veux pas les « purifier » ?
C’est une réponse à une question : « Si tu le veux, tu peux me purifier ». Jésus partage la souffrance humaine, il la prend sur lui, mais ne la fait pas disparaître comme par magie.
 
N’est-ce pas contradictoire de dire « Ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre » ?
La mission donnée à celui qui était lépreux, c’est d’accomplir la loi. Le prêtre va reconnaître l’action de Dieu et rendra le guéri à la vie normale. Sa seule guérison vaut témoignage.
 
Et pourquoi ne rien dire de ce qui fait tant de bien ?
Ce passage de Saint Marc donne lui-même l’une des réponses à cette question : cette annonce empêche Jésus « d’entrer ouvertement dans une ville » ; les gens ne le voient plus tel qu’il est, mais comme un magicien.
 
Jésus n’est-il pas habitué aux foules ? Pourquoi les fuit-il ?
Il y a sans doute diverses sortes de foules dans l’Evangile : celle qui est sans berger, et celle qui veut un magicien, celles qui sont disposées à écouter, et celles qui ne le sont pas. Jésus ne se veut pas un dompteur de foule.
 
Ai-je bien lu ?
 
Que fait-on d’un lépreux, du temps de Moïse ?
On l’amène au prêtre Aaron ou à l’un des prêtres ses fils
 
Que fait le Seigneur à l’égard de celui que souffre et crie vers lui ?
Il se penche et regarde la terre pour entendre la plainte des captifs et libérer ceux qui devaient mourir
 
Que devons-nous faire, à la demande de l’apôtre Paul ?
tout ce que vous faites, faites-le pour la gloire de Dieu.
 
Quel geste fait Jésus pour répondre à la demande du lépreux ?
Il étend la main et le touche.
 
Quel témoignage Jésus demande-t-il au lépreux ?
Ta guérison sera pour les gens un témoignage.



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