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dimanche 5 février

dimanche 5 février

Quiz du 5e dimanche ordinaire, année B

5e dimanche ordinaire B - 5 février 2006
 
Trois parties : les questions du quiz, les textes du dimanche, les réponses du quiz.
 
Questions du quiz.
 
Pourquoi dis-tu cela, Jésus ?
 
Jésus, pourquoi te comportes-tu comme un guérisseur ? Est-ce pour avoir du pouvoir sur les gens ?
 
Pourquoi laisses-tu tes amis pour aller prier seul ? Ne devrais-tu pas les entraîner à la prière ?
 
Alors que « tout le monde te cherche », toi, tu t’en vas...
 
Que veux-tu dire : « c’est pour cela que je suis sorti » ?
 
Pourquoi aller de synagogue en synagogue, puisque les autorités religieuses te sont hostiles ?
 
Vais-je bien lire ?
 
Comment Job décrit-il ses nuits ?
 
Et ses jours ?
 
Quelle est la mesure de l’intelligence du Seigneur ?
 
Paul a-t-il des droits, en tant qu’apôtre ?
 
Quand Jésus va-t-il prier ?
 
Les textes du jour
 
Livre de Job (7, 1-4. 6-7)
 
Job prit la parole et dit : " Vraiment, la vie de l’homme sur la terre est une corvée, il fait des journées de manœuvre. Comme l’esclave qui désire un peu d’ombre, comme le manœuvre qui attend sa paye, depuis des mois je n’y ai gagné que du néant, je ne compte que des nuits de souffrance. A peine couché, je me dis : ’Quand pourrai-je me lever ?’ Le soir n’en finit pas : je suis envahi de cauchemars jusqu’à l’aube. Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand, ils s’achèvent quand il n’y a plus de fil. Souviens-toi, Seigneur : ma vie n’est qu’un souffle, mes yeux ne verront plus le bonheur. "
 
Psaume 146 [147 A]
 
R/Bénissons le Seigneur qui guérit nos blessures !
 
Il est bon de fêter notre Dieu,
il est beau de chanter sa louange :
Il guérit les cœurs brisés
et soigne leurs blessures.
 
Il compte le nombre des étoiles,
il donne à chacune un nom !
il est grand, il est fort, notre Maître
nul n’a mesuré son intelligence.
 
Le Seigneur élève les humbles
et rabaisse jusqu’à terre les impies.
Entonnez pour le Seigneur l’action de grâce,
jouez pour notre Dieu sur la cithare !
 
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (9, 16-19. 22-23)
 
Frères, si j’annonce l’Évangile, je n’ai pas à en tirer orgueil, c’est une nécessité qui s’impose à moi ; malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! Certes, si je le faisais de moi-même, je recevrais une récompense du Seigneur. Mais je ne le fais pas de moi-même, je m’acquitte de la charge que Dieu m’a confiée. Alors, pourquoi recevrai-je une récompense ? Parce que j’annonce l’Évangile sans rechercher aucun avantage matériel, ni faire valoir mes droits de prédicateur de l’Évangile. Oui, libre à l’égard de tous, je me suis fait le serviteur de tous, afin d’en gagner le plus grand nombre possible. J’ai partagé la faiblesse des plus faibles pour gagner aussi les faibles. Je me suis fait tout à tous pour en sauver à tout prix quelques-uns. Et tout cela, je le fais à cause de l’Évangile, pour bénéficier, moi aussi, du salut.
 
Alléluia. Alléluia. Jésus a pris sur lui notre faiblesse, il s’est chargé de nos douleurs. Alléluia.
 
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (1, 29-39)
 
En quittant la synagogue de Capharnaüm, Jésus, accompagné de Jacques et de Jean, alla chez Simon et André. Or, la belle-mère de Simon était au lit avec de la fièvre. Sans plus attendre, on parle à Jésus de la malade. Jésus s’approcha d’elle, la prit par la main et la fit lever. La fièvre la quitta, et elle les servait.
Le soir venu, après le coucher du soleil, on lui amenait tous les malades, et ceux qui étaient possédés par des esprits mauvais. La ville entière se pressait à la porte. Il guérit toutes sortes de malades, il chassa beaucoup d’esprits mauvais et il les empêchait de parler, parce qu’ils savaient, eux, qui il était.
Le lendemain, bien avant l’aube, Jésus se leva. Il sortit et alla dans un endroit désert, et là il priait. Simon et ses compagnons se mirent à sa recherche. Quand ils l’ont trouvé, ils lui disent : « Tout le monde te cherche. » Mais Jésus leur répond : « Partons ailleurs, dans les villages voisins, afin que là aussi je proclame la Bonne Nouvelle ; car c’est pour cela que je suis sorti. » Il parcourut donc toute la Galilée, proclamant la Bonne Nouvelle dans leurs synagogues, et chassant les esprits mauvais.
 
Réponses proposées
 
Pourquoi dis-tu cela, Jésus ?
 
Jésus, pourquoi te comportes-tu comme un guérisseur ? Est-ce pour avoir du pouvoir sur les gens ?
C’est l’amour de Dieu qui guérit, gratuitement. La Bonne Nouvelle est en marche. Les guérisons ne sont pas seulement celles des corps, mais encore davantage, et pour tous ceux qui y sont disposés, celles du cœur.
 
Pourquoi laisses-tu tes amis pour aller prier seul ? Ne devrais-tu pas les entraîner à la prière ?
Je pars écouter mon Père, et je devance mes amis pour connaître et faire la volonté de celui qui m’a envoyé. En présence de qui sont ceux qui me suivent pendant le jour ?
 
Alors que « tout le monde te cherche », toi, tu t’en vas...
Il est tentant pour ceux d’un village de capter celui qui leur a fait du bien ; mais je suis envoyé vers toute la Maison d’Israël...
 
Que veux-tu dire : « c’est pour cela que je suis sorti » ?
Après le temps de Nazareth, je viens vers ceux que le Père a choisis pour être les premiers à recevoir la Bonne Nouvelle.
 
Pourquoi aller de synagogue en synagogue, puisque les autorités religieuses te sont hostiles ?
Les synagogues sont bien le lieu privilégié de la présence de Dieu, là où la Parole est dite et méditée. Ceux qui les fréquentent sont dans l’attente du Messie. Marc écrit qu’ils sont frappés par mon enseignement. Les synagogues de Galilée ne sont pas hostiles comme les grands prêtres et les scribes. Seule celle de Nazareth a refusé d’entendre la Bonne Nouvelle.
 
Ai-je bien lu ?
 
Comment Job décrit-il ses nuits ?
Ce sont « des nuits de souffrance ». Job est « envahi de cauchemars jusqu’à l’aube ».
 
Et ses jours ?
« Ils sont plus rapides que la navette du tisserand, ils s’achèvent quand il n’y a plus de fil. »
 
Quelle est la mesure de l’intelligence du Seigneur ?
« Nul n’a mesuré son intelligence »
 
Paul a-t-il des droits, en tant qu’apôtre ?
Il « pourrait faire valoir ses droits de prédicateur de l’Évangile » ; mais il ne le fait pas, car c’est pour lui « une nécessité » que « d’annoncer l’Évangile ».
 
Dans cet évangile, quand Jésus va-t-il prier ?
« Bien avant l’aube ».

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