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dimanche 19 février

dimanche 19 février

Septième dimanche ordinaire, année B
 
Trois parties : les questions du quiz, les textes du dimanche, les réponses du quiz.
 
Questions du quiz.
 
Vais-je bien lire ?
 
Que fait le Seigneur à Israël, qui l’a « traité comme un esclave », et « fatigué par ses fautes » ?
Que demande le psalmiste au Seigneur, alors que ses ennemis disent : « Quand sera-t-il mort ? son nom, effacé ? »
Que signifie « amen », pour l’apôtre Paul ?
Que fait le Seigneur à ceux qu’il a consacrés ?
Quel trajet les amis du paralytique lui font-ils emprunter ?
 
Pourquoi dis-tu et fais-tu cela, Jésus ?
 
Pourquoi t’installes-tu dans une petite maison (de plein pied) pour annoncer la Parole ?
Tu pourrais dire à la foule de laisser passer le paralysé. Veux-tu le mettre à l’épreuve ?
Tu vois la foi des cinq, mais c’est au seul paralysé que tu remets ses péchés. Et les autres ?
Le paralysé espère une guérison physique, et toi, tu lui remets ses péchés. Est-ce pour provoquer les quelques scribes qui sont dans l’assistance ?
Tu guéris le paralysé, très bien. Mais ce n’est pas tant pour lui que pour clouer le bec aux scribes. Le malade n’est-il qu’un instrument entre tes mains ?
 
Lectures
 
Isaïe, 43, 18-19. 21-22. 24c-25
 
Parole du Seigneur : Ne vous souvenez plus d’autrefois, ne songez plus au passé. Voici que je fais un monde nouveau : il germe déjà, ne le voyez-vous pas ? Oui, je vais faire passer une route dans le désert, des fleuves dans les lieux arides. Ce peuple que j’ai formé pour moi redira ma louange. Toi, Jacob, tu ne m’avais pas appelé, tu ne t’étais pas fatigué pour moi, Israël ! Par tes péchés tu m’as traité comme un esclave, par tes fautes tu m’as fatigué. Mais moi, oui, moi je pardonne tes révoltes, à cause de moi-même, et je ne veux plus me souvenir de tes péchés.
 
Psaume 40 [41]
 
R/Guéris mon âme, Seigneur, car j’ai péché contre toi.
 
Heureux qui pense au pauvre et au faible :
Il le protège et le garde en vie ;
Il le soutient sur son lit de souffrance.
 
J’avais dit : Pitié pour moi, Seigneur,
guéris-moi, car j’ai péché contre toi !
Mes ennemis me condamnent déjà :
" Quand sera-t-il mort ? son nom, effacé ? "
 
Mais toi, Seigneur, prends pitié de moi,
et je saurai que tu m’aimes.
Dans mon innocence tu m’as soutenu
et rétabli pour toujours devant ta face.
 
Seconde lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens (1, 18-22)
 
Frères, j’en prends à témoin le Dieu fidèle : le langage que nous vous parlons n’est pas à la fois " oui " et " non ". Le Fils de Dieu, le Christ Jésus, que nous avons annoncé parmi vous, Silvain, Timothée et moi, n’a pas été à la fois " oui " et " non ". ; il n’a jamais été que " oui ". Et toutes les promesses de Dieu ont trouvé leur " oui " dans sa personne. Aussi est-ce par le Christ que nous disons " amen ", notre " oui " pour la gloire de Dieu. Celui qui nous rend solides pour le Christ, dans nos relations avec vous, celui qui nous a consacrés, c’est Dieu ; il a mis sa marque sur nous, et il nous a fait une première avance sur ses dons : l’Esprit qui habite nos cœurs.
 
Alléluia. Alléluia. Le Seigneur a envoyé Jésus, son Serviteur, porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux prisonniers qu’ils sont libres. Alléluia.
 
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc (2, 1-12)
 
Jésus était de retour à Capharnaüm, et la nouvelle se répandit qu’il était à la maison. Tant de monde s’y rassembla qu’il n’y avait plus de place, même devant la porte. Jésus leur annonçait la Parole. Arrivent des gens qui lui amènent un paralysé, porté par quatre hommes. Comme ils ne peuvent l’approcher à cause de la foule, ils découvrent le toit au-dessus de Jésus, font une ouverture, et descendent le brancard sur lequel était couché le paralysé. Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : " Mon fils, tes péchés sont pardonnés. " Or, il y avait dans l’assistance quelques scribes qui raisonnaient en eux-mêmes : " Pourquoi cet homme parle-t-il ainsi ? Il blasphème. Qui donc peut pardonner les péchés, sinon Dieu seul ? " Saisissant aussitôt dans son esprit les raisonnements qu’ils faisaient, Jésus leur dit : " Pourquoi tenir de tels raisonnements ? Qu’est-ce qui est le plus facile ? de dire au paralysé : ’Tes péchés sont pardonnés’ ou bien de dire : ’Lève-toi, prends ton brancard et marche’ ? Eh bien ! Pour que vous sachiez que le Fils de l’homme a le pouvoir de pardonner les péchés sur la terre, je te l’ordonne, dit-il au paralysé : Lève-toi, prends ton brancard et rentre chez toi. " L’homme se leva, prit aussitôt son brancard, et sortit devant tout le monde. Tous étaient stupéfaits et rendaient gloire à Dieu, en disant : " Nous n’avons jamais rien vu de pareil. "
 
Réponses proposées
 
Pourquoi dis-tu et fais-tu cela, Jésus ?
 
Pourquoi t’installes-tu dans une petite maison (de plein pied) pour annoncer la Parole ?
 Jésus vient chez qui l’accueille.
 
Tu pourrais dire à la foule de laisser passer le paralysé. Veux-tu le mettre à l’épreuve ?
Jésus n’agit pas comme un magicien. A chacun son chemin vers lui. A chacun son désir.
 
Tu vois la foi des cinq, mais c’est au paralysé que tu remets ses péchés. Et les autres ?
 Ne crois-tu pas que les quatre porteurs ont été graciés dans leur espérance ?
 
Le paralysé espère une guérison physique, et toi, tu lui remets ses péchés. Est-ce pour provoquer les quelques scribes qui sont dans l’assistance ?
Dans le récit, ce n’est pas ainsi que les choses se passent. Jésus sait que l’esprit est le plus important chez tout homme, et il commence par le plus important.
 
Tu guéris le paralysé, très bien. Mais ce n’est pas tant pour lui que pour clouer le bec aux scribes. Le malade n’est-il qu’un instrument entre tes mains ?
La guérison d’une personne est un signe pour tous ; ici, ce n’est pas seulement aux scribes que Jésus apprend qu’il a le pouvoir de remettre les péchés, ce qui révèle sa nature divine, mais à tous ceux qui sont présents, et à tous ceux qui écoutent ou lisent cet évangile.
 
Ai-je bien lu ?
 
Que fait le Seigneur à Israël, qui l’a « traité comme un esclave », et « fatigué par ses fautes » ?
« Je pardonne tes révoltes, à cause de moi-même, et je ne veux plus me souvenir de tes péchés. »
Que demande le psalmiste au Seigneur, alors que ses ennemis disent : « Quand sera-t-il mort ? son nom, effacé ? »
 « Toi, Seigneur, prends pitié de moi, et je saurai que tu m’aimes ».
Que signifie « amen », pour l’apôtre Paul ?
« Notre " oui " pour la gloire de Dieu ».
Que fait le Seigneur à ceux qu’il a consacrés ?
 « Il les rend solides pour le Christ »
Quel trajet les amis du paralytique lui font-ils emprunter ?
« Ils découvrent le toit au-dessus de Jésus, font une ouverture, et descendent le brancard sur lequel était couché le paralysé ».
 

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